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De : Zab, le 27/06/2003
Papou, Mamou et Loulou sont dans un bateau.
Pince moi, pourquoi n'y es tu pas ?
La Corse sans toi mais avec toi quand même dans l'odeur du maquis et les eaux transparentes
De : yougou, le 26/06/2003
Au sommet du Toubkal ,4167 m + pres de toi,ns avons tous pensé tres fort à toi;
De : yougou, le 26/06/2003
Au sommet du Toubkal ,4167 m + pres de toi,ns avons tous pensé tres fort à toi;
De : Marraine, le 16/06/2003
Marie si belle,
Tu as vu samedi ta « p’tite Charlotte » à la kermesse de l’école déguisée en chat blanc dansant sur l’air des « Aristochats » ? Rigolote, hein ?
Oui ! Je sais les oreilles que je lui avais confectionnées étaient plutôt celles d’un lapin qui lui tombaient tout le temps sur les yeux (« ah ! Marraine t’es nulle !!! » je t’entends me le dire dans un éclat de rire !) mais à part ça c’était réussi !!
Vendredi prochain j’accompagne la classe de Charlotte à l’immense parc de jeux qui surplombe le lac de Genève où nous avions passé toute une journée ensemble…il y a 3 ans. Je n’y étais jamais plus retournée. J’appréhende un peu.

J’ai lu avec grande émotion le message de ton Papa.
Je te serre sur mon cœur.
De : Papou, le 16/06/2003
Mon Trésor,
Nous sommes donc retourné, ta maman et moi, dans ce Monastère de Cimiez, cette église de mon enfance, pour accompagner Leila et sa famille dans ses derniers instants parmi nous.
Elle t’a rejoint maintenant, toi, Thomas, et tous tes autres camarades d’anciennes souffrances partis trop tôt, trop soudainement, trop vite .
Accueille-la comme une habituée des lieux se doit de le faire… Explique-lui bien que la mort n’est pas l’oubli, et que l’amour rend immortel aux yeux de ceux qui vous ont aimé.
Dis lui aussi que, même si aujourd’hui nous avons tous le sentiment qu’il n’existe plus aucun espoir pour les enfants mucos, nous allons malgré tout essayer de nous battre avec tous ceux qui se battent contre cette épouvantable fatalité.
Aide-nous à nous battre ma Puce, comme tu nous aides à vivre au quotidien.
Tous les jours je crie de l’intérieur combien je t’aime, tous les jours un peu plus fort.
De : Isabelle WURSTHORN, le 16/06/2003
Petite Marie,
Un si joli prénom (comment pourrait-il en être autrement puisque c'est aussi celui de ma fille?) pour une si jolie et délicate poupée.
Mon nom t'est sans doute inconnu ; je connais un peu ton papa, ta tante Marie-Christine, tes grands-parents paternels, beaucoup mieux ta marraine
avec qui j'ai partagé de jolis moments dans les couloirs du Régina. Si je n'ai jamais eu l'occasion de te rencontrer douce Marie, il me tenait à coeur
que tu saches que mes pensées vont vers toi et vers les tiens.
Tu es partie vers le paradis blanc, mais j'ai parlé aux anges afin qu'ils prennent particulièrement bien soin de toi.
Petite Marie-Julie, embrasse bien tous ceux qui t'aiment profondément, et qui souffrent infinement, désespérément de ton absence.
De : zab, le 16/06/2003
Hier matin, princesse, le premier bruit que j'ai entendu en me réveillant était celui d'un gros plouf : Loulou sautait dans la piscine. Et j'ai tout de suite pensé à toi qui aurait dû être là avec lui.
Je ne t'ai pas vue mais j'ai senti ta présence douce et tranquille, comme toute les fois où tu évoluais dans cette maison qui garde ta chaleur et dans laquelle, malgré tout, malgré toi, grâce à tout, grâce à toi, je me sens bien.
De : mcs, le 13/06/2003
J'ai le cœur encore tout bouleversé d'avoir vu ton papa en larmes tout à l'heure, il venait d'appendre qu'un autre petit ange est venu vous rejoindre, toi, Thomas, dont la maman vient de te laisser un message.
Ton Papou pleurant pour Marin qui s'occupait d'elle comme il s'occupait de toi, et qui vous voit partir les uns après les autres.
Tu nous manques ma puce et je m'en veux encore plus aujourd'hui de ne pas prendre assez de hauteur pour ne me consacrer qu' à l'essentiel.
De : Margarette Genève, le 06/06/2003
Chère petite Marie,
Les mots sont trop faibles pour te dire à quel point je suis émue par tous les messages d'amour que tes proches t'envoient.
Tu as tellemement de points communs avec mon petit Thomas. Je suis sûre maintenant que vous êtes amis dans le ciel.
Vous avez été des petits êtres exceptionnels sur terre et avez apporté tant de bonheur autour de vous !
Vous êtes et serez éternellement présents dans nos vies. Votre courage exemplaire ne peut que nous aider à continuer,
malgré le profond désespoir qui nous anime lorsque nous avons envie de vous serrer tendrement dans nos bras.
Nos coeurs sont meurtris par la terrible injustice qui vous a arraché à nous, mais en même temps, embellis par le bonheur
que vous nous avez donné avec tout votre amour. Merci à vous deux, petits anges bénis des cieux. Ce fut un immense honneur
d'avoir pu vous accueillir dans nos foyers. Protégez nous et aussi tous ceux qui se battent pour vivre avec cette terible maladie.
De : Emma Bruzzese, le 29/05/2003
M.J il y a comme un trou dans ma tête, une lumière blanche, je pense que c'est ton "DEPART" qui reste gravé à tout jamais.Je voulais te dire que je ne t'oublirai jamais.Même si tu n'es plus là!!!!! J'aimerais tant que tu reviennes pour te dire à quel point(!!!!)je t'ADORE(!!!!!)et que tu es toujours là pour moi(et d'autres personnes comme ta famille et tes amis(ex:brigitte.v.,marion.b.,etc).).Je sais plus quoi te dire à part que tu me manques énormément(j'en pleure la nuit!!).
TENDREMENT EMMA