De :
clemence,
le 22/02/2003
Ma très chère cousine,
Tu nous manques à tous enorménent...
je regrette de ne pas avoir pu te voir plus
souvent...
je suis sure que là où tu es maintenant
tu es bien et que tu ne souffres plus
Toi qui étais si courageuse et si gentille,
tu ne peux être en ce moment qu'auprès des anges...
Marie-julie,
toi qui a donné à toutes les personnes que tu connaissais
et surtout à tes parents 12 merveilleuses années de bonheur,
donne nous la force de supporter ton absence physique car
tu sais que tu resteras toujours gravé dans nos mémoires et
dans nos coeurs.
Tu sais Marie, tes parents sont vraiment extraordinaires et
ton petit Louis-Vincent aussi,tu peux être fière d'eux...
Grace à eux, et au site qu'ils ont fait pour toi,nous avons la chance de
pouvoir encore t'admirer...
ma petite Marie chérie,je ne t'oublierai jamais...
clemence(serdet)
De :
axel et maman,
le 22/02/2003
Je suis rentré de colonies aujourd'hui, et j'ai regardé avec maman
les photos et les dessins de Marie-Julie.
J'ai trouvé ça très beau.
De :
Guillaume Barbera,
le 21/02/2003
Marie-Julie je pense tres fort a toi et
toute la 5eme C aussi... je t'oublirai
j'amais.
De :
Katarina,
le 21/02/2003
Chère Marie-Julie,
Nous pensons tout le temps à toi
Tu es avec nous même ici dans notre maison
Il y a des photos
Et des bougies
Et on vient souvent te revoir sur le site
Surtout Mathilda
Elle m'as dit tout à l'heure
Qu'elle aimait beaucoup parler de toi et de tes parents
J'ai compris que c'était très important
Elle veut mettre des tas de photos et des poèmes dans sa chambre
Tu vois, tu restes avec nous, très présente
Et moi, je pense au Petit Prince qui disait à son ami
Qu'après, quand il serait parti
Il pouvait regarder les étoiles et rire en les voyant
Rire, je ne sais pas
Mais un petit sourire
En pensant à l'été dernier quand on était ensemble à Cavallaire
Et qu'on voyait les étoiles et la lune le soir
Briller dans la mer
C'était beau
Tu vois, c'est bien ce que je disais:
C'est toi qui nous aide!
De :
mathilda rolland,
le 21/02/2003
Marie
Là ou je vais il n'y a pas d'ordinateur
mais je te parlerais quand je serais
seul car je sais que tu m'entend meme
quand je pense,meme quand je pleure
je sens que tu me console .Tu es mon
ANGE GARDIEN!!
De :
Marraine,
le 21/02/2003
Marie,
Marie ma douce,
Voilà ! Je lui ai dit.
J’ai dit à Charlotte, « ta petite sœur » comme tu l’appelles ;
Je lui ai dit (tu m’as soufflé les mots ?).
Nous avons regardé, puis joué avec le tas de photos de toi que j’avais éparpillées dans sa chambre.
Je lui ai dit que tu n’avais plus « bobo », je lui ai parlé de ton envol,
de ton absence physique dans ses futurs jeux de petite fille (de 3 ans).
Je lui ai parlé du ciel, des étoiles et Charlotte m’ a demandé émerveillée :
« Ah ! C’est chez elle, « dans les étoiles ?»
« Oui, mon amour »
Alors, on a choisi une bougie, une bien grosse, une toute ronde et jaune parce que « Marie-Julie, elle aime le jaune » (si tu le dis, ma Charlotte…)
On l’a allumée.
Elle a souri et a bien dit à son papa, petit doigt tendu :
« il faut pas souffler »
Plus tard, en fronçant les sourcils elle m’a dit :
« Demain, on va à Nice et on va voir Marie-Julie, hein? maman »
Il lui faudra du temps, il lui faudra du temps…
Je vous serre sur mon cœur,
les 2 petites sœurs que j’aime.
Marraine.
De :
jean-François,
le 21/02/2003
Adieu petite cousine,
Chaque fois que j'entendais un enfant tousser j'avais le coeur serré en pensant à toi et aux angoisses de tes parents...
Maintenant tu es en paix et le temps de la tristesse est venu.
Puis, parcequ'ils sont forts, chez ceux qui t'ont aimée reviendront la vie et les sourires, malgré les blessures.
Mais personne ne t'oubliera.
De :
Marine,
le 21/02/2003
ma petite Marie-Julie
Quelle joie de te savoir auprès du Seigneur!
Mais quelle épreuve pour ceux qui reste :tes parents ,ton frère chérie ,ta famille ,tes amis.
Merci pour le témoignage d'amour et de vie que tu nous laisses et sois toujours là pour nous soutenir et nous montrer le chemin
De :
Zab,
le 21/02/2003
Ma chérie, ta maman est passée tout à l'heure me confier ta bougie pour qu'elle reste allumée pendant leur absence.
Je vais y veiller comme j'aurais voulu continuer à te veiller depuis déjà une semaine.
J'ai tes petits yeux fatigués posés sur moi et ta jolie main dans la mienne et je pense si fort, si intensément à toi, à tout l'amour que j'avais encore à te donner, à tous les trucs de fille que l'on aurait pu faire, à tous les fous rires, toutes les ballades, toutes les sorties avec les cousins.
Le temps n'est pas encore venu de te dire ma détresse, aujourd'hui j'ai trop mal.
De :
Patrick Peirani,
le 21/02/2003
Je vous adresse mes plus sincères condoléances
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